Mathurin Lory de la Bernardière

Nom pour l'Etat-Civil : René Amable Mathurin Lory de la Bernardière

Naissance
Date : 30/1/1748
Lieu : Nantes (44)
Source : J. et G. Cot

Décès
Date : entre 1812 et 1830
[Nantes ?]

Père : Gabriel François Louis Lory de la Bernardière (+ avant 1787, Nantes - 44)

Mère : Marie Marthe Cottineau (+ après 1787, Nantes - 44)

En 1787 il est greffier en chef des sièges royal et de l'Amirauté du Petit Goave, trésorier des invalides au Fort-Dauphin pendant 8 ans, réfugié à Nantes en 1792


 

Mariage [catholique]

Conjoint : Madeleine Devigne de Lavit (o 31/10/1771, Bédarieux - 34)

Célébration du mariage : 10/7/1787, Petit-Goave

Source : G. Cot

Madeleine est représentée par son tuteur ad hoc, Brée de Lorme (mari de sa grand-mère veuve d´Arnaud). Les témoins sont M et Mme de Najac, oncle et tante de l´épouse, le chevalier de Boë commandant les milices du quartier, le chevalier de Ferrabone ancien officier de cavalerie, Bessaiguet capitaine des milices, Radoux ancien major commandant des milices du quartier, Huet de la Chelle écuyer sénéchal. Baron, curé
... ils seront communs régis par la coutume de Paris pour es biens futurs. Le futur possède une maison, nègres et meubles, estimés 80000 livres. L´épouse reçoit en dot la partie sud de l´habitation Devigne jadis achetée aux d´Arnaud. (acte du 20/1/789) - Document notarié fait "le onze juin 1787 en la ville et Sénéchaussée Royale du Petit Goave, Isle et coste française de Saint Domingue en l´Amérique sous le vent".
En cas de décès de la promise, le futur prendra avant le partage de la communauté « deux nègres valets à son choix, un postillon, un cuisinier, une chaise attelée de six chevaux [...] si c´est la demoiselle qui survit elle prendra trois servantes à son choix »

Contrat de mariage : 11/6/1787 Me Bracon de Rochefort, Petit-Goave

Descendance complète :

Les quatre enfants du couple sont mentionnés dans les demandes d´indemnisation, ainsi que les possessions à St Domingue : une portion d´habitation dite des héritiers Cottineau, une autre en sucrerie au quartier du Petit-Goave, une petite habitation touchant la ville du Petit-Goave, et une maison sise en cette ville.
Ces possessions leur valurent en 1831-33 une indemnité de 4000 livres (pour la maison Lory au Petit Goave), partagé entre la veuve et les enfants survivants : Henri (= Pierre ?) , Jules, Félicité Clotilde plus 1000 livres pour les possessions quartier de Nouvelle-Touraine

Type de descendance 
Générations descendantes  (attention ce sera tronqué s'il y a trop de personnages)

Retour à la page principale.